Les SCPI résistent au Coronavirus
Comme vous le savez, nous sommes en pleine crise avec le coronavirus, et cela va se faire grandement ressentir dans différents domaines. D’ailleurs, nous avons déjà pu constater que les actions ou les placements boursiers ont été touchés. Cependant, le Covid 19 par rapport aux SCPI, n’aura pas trop d’impact. Voici quelques explications.
Les SCPI seront épargnées
La crise du Covid-19 engendre beaucoup de dégâts. En effet, chaque jour nous constatons un taux de mortalité toujours plus haut, nous avons donc peur pour nous et nos proches, mais aussi pour nos finances, ce qui est tout à fait normal. Cependant, les investisseurs dans l’immobilier professionnel, surtout ceux faisant partie d’une SCPI, n’auront pas trop à s’inquiéter de cette crise, du moins, logiquement. Effectivement, la majorité des SCPI ne louent pas les locaux à des TPE ou PME, mais plutôt à des locataires reconnus. D’ailleurs, bien souvent, il s’agit de grandes entreprises renommées au niveau mondial ou national comme Carrefour, L’Oréal, voire des agences bancaires ou des Ministères. Ces sociétés Civiles jouissent de revenus conséquents, qui leur permettent de faire face à cette crise sanitaire.
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Le gouvernement aux côtés de certaines entreprises
De plus, même si selon l’allocution du 16 mars 2020 du Président de la République, il serait possible pour les entreprises, notamment les PME, déjà en difficulté, de différer le paiement leurs loyers, cela ne fait pas partie d’un projet de loi à ce jour, ce qui signifie qu’il n’est pour le moment, pas question de suspendre le règlement des loyers, ni de le différer. En tant que propriétaire, vous en déciderez. Les petites SCPI ayant comme locataires des TPE et PME, décideront au cas par cas, de manière à préserver le parc locatif, sans pour autant mettre en difficulté le rendement visé à leurs associés. Qui plus est, la BCE et le gouvernement mettent tout en œuvre pour soutenir les petites entreprises en difficulté en mettant au point un plan de soutien exceptionnel de 350 milliards d’euros. Cela est tout de même rassurant, n’est-ce pas ?
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