Le cadavre de Larusso retrouvé dans la cave du studio du Hit Machine
Le corps sans vie de la chanteuse Larusso a été retrouvé ce matin par des ouvriers travaillant pour le compte de la chaîne M6. Une triste découverte qui met fin à des années de spéculation sur la disparition de la chanteuse.
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Découverte capillaire macabre
Les démolisseurs étaient en train de raser l’ancien studio de l’émission culte « Hit Machine », lorsqu’ils ont découvert entre deux planches une épaisse touffe de paille « un peu frisée ». « On a cru que c’était une vieille fougère », reconnaît un ouvrier, qui a tiré de toutes ses forces, exhumant d’un coup la touffe desséchée, la tête gonflée puis le cadavre momifié de Larusso. L’homme a immédiatement été transféré vers une cellule d’assistance psychologique, souffrant de graves troubles des tympans « d’ordre psychosomatique », selon les médecins.
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Yakalelo yakalelo
L’autopsie de la dépouille de Larusso a révélé qu’elle portait un jogging Adidas à pression, un pin’s Footix et des Nike Cortez, ce qui situe la date de son décès aux alentours de 1998. « La période Tu M’oublieras », nous confie l’inspecteur Liméro, en charge de l’enquête en grimaçant. « J’arrive pas à me sortir cette chanson de merde de la tête…ça y’est, vous l’avez vous aussi je parie ».
L’équipe de l’inspecteur Liméro affirme avoir visionné l’intégralité des vidéos K7 du Hit Machine de 1998, mise à la disposition de la police par le CDI du Lycée Pablo Neruda de Dieppe (76). L’inspecteur, joint au téléphone, a concédé que « certains de ses gars n’ont pas tenu le coup », et nous a donné quelques noms qui « font mal au bide » comme Worlds Apart, Lââm et Yakalelo.
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Meurtriers mystérieux
Cependant, le visionnage a permis de déterminer que Larusso a été victime d’un homicide volontaire, en plein enregistrement sur le plateau. On distingue deux hommes mal habillés, excédés, qui frappent la chanteuse avec leur micro puis la tirent hors coulisse. La police n’a pas été en mesure de déterminer l’identité des meurtriers mais elle a publié des portraits robots : il s’agit d’un homme noir et chauve avec des petites lunettes rondes, accompagné d’un grand blanc avec une tête de caillou.