Quel sport pour personne âgée ?
La retraite est l’occasion de développer de nouvelles habitudes et de consacrer du temps à l’activité physique en particulier. Cela est d’autant plus important que l’activité physique et le mode de vie sédentaire sont les principaux déterminants de la santé.
Au moment de la retraite, certains, déjà athlètes, ne changeront pas leurs habitudes ou n’augmenteront pas leur pratique, d’autres s’inscriront dans des clubs sportifs classiques, il y a aussi ceux qui feront de l’exercice seuls à la maison, qui profiteront de leur retraite pour marcher ou jardiner davantage, et enfin il y a ceux qui recourir à ce que l’on appelle « activité » physique adaptée » ou APA.
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Il est idéal si vous êtes dans une phase de reprise d’activité sportive après plusieurs années et que vous avez peur de vous blesser ou de ne pas pouvoir suivre un cours classique.
Elle est également particulièrement recommandée si vous avez des problèmes de santé méritent une attention particulière de la part d’un enseignant spécialement formé à l’APA. Nous trouvons donc, partout en France, une offre de plus en plus étendue chez APA, qui propose diverses activités, accueillant tous les publics à tous les âges de la vie et quel que soit leur état de santé.
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Cependant, comme le rappelle Olivier Dailly, directeur de l’association ADAL (Discovering Free Age) et du D-Marche On-the-Go Awareness Program, bien que l’offre de l’APA prenne de plus en plus d’importance, que les messages de recommandation sur l’activité physique sont diffusés assez largement, plus de la moitié population en France elle est considérée comme sédentaire ou physiquement inactive. En fin de compte, ce n’est pas l’offre qui suffit à convaincre les sédentaires de partir. Nous devons réfléchir davantage aux moyens mis en œuvre pour travailler à les réunir.
Toutefois, le L’activité physique adaptée est sans aucun doute un moyen motivant d’enregistrer la pratique d’une activité sportive dans le temps, car elle est dispensée par des éducateurs formés pour prendre en compte les particularités de santé de chaque participant qui se sentira bien accompagné, et qui permet également de créer des liens sociaux lorsque est une question de sessions de groupe.
Plan de l'article
- Où en êtes-vous en termes d’activité physique ?
- ENTRETIEN AVEC ALAIN LAFORÊT, MEMBRE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA FNAR (FÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS)
- ENTRETIEN AVEC MARION OSTER, ENSEIGNANTE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE (APA) À L’ASSOCIATION PRIM’ADAL
- LUTTE CONTRE LA SÉDENTARITÉ : LES INFIRMIÈRES LANCERONT UNE COLLABORATION EFFICACE QUI RASSEMBLE LES UTILISATEURS
Où en êtes-vous en termes d’activité physique ?
L’Observatoire national de l’activité physique et de la vie sédentaire (ONAPS) rappelle que :
- 40 % des adultes sont sédentaires, c’est-à-dire qu’ils passent plus de 4 heures par jour allongés ou assis en dehors du temps de sommeil
- 24 % des adultes ont une activité modérée, ce qui correspond à au moins 30 minutes de marche
- 43 % des adultes ont un niveau d’activité physique satisfaisant par rapport à recommandations internationales. par jour
Par conséquent, si vous reprenez une activité physique adaptée parce que vous n’avez pas pratiqué depuis de nombreuses années ou parce que certains problèmes de santé deviennent un obstacle à la pratique, vous pouvez vous renseigner sur :
Les mouvements sportifs locaux, y compris les organisations multisports telles que :
- — La Fédération française du sport pour tous — La FFEPGV (Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire)Le groupe associatif Siel Bleu —
- Associations locales de patients
- Votre mairie ou ceux des villes voisines
- Réseaux de sport, de santé et de bien-être dans votre département
- agences régionales de santé (ARS) ou de la Direction régionale et départementale de la jeunesse, des sports et Cohésion sociale (DRDJSCS) dont la mission est d’identifier et de mettre à la disposition du public les offres d’activité physique adaptée disponibles.
ENTRETIEN AVEC ALAIN LAFORÊT, MEMBRE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA FNAR (FÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS)
66 millions d’impatients : Est-ce que nous parlons ou mettons souvent en œuvre des actions de santé préventives par l’activité physique au sein des associations de retraite ?
Alain Laforêt : Notre fédération regroupe des clubs d’entreprises et des amis partout en France. Au total, cela représente environ cent mille membres qui, souvent, en raison de leur âge, sont presque tous, de près ou de loin, utilisateurs du système même s’ils ne sont pas nécessairement « malades ».
L’objectif des clubs et des matches amicaux est principalement axé sur l’organisation de sorties, de convivialité et de rencontres, mais au final on parle peu de santé, même si nous ne l’avons pas beaucoup atteint petit à petit. Cependant, toutes ces structures pourraient certainement offrir une activité physique plus axée sur la santé.
Toutefois, lorsque vous organisez une visite dans une ville ou un musée, cela implique une activité physique car les participants sont souvent invités à marcher plus ou moins. Cela pourrait également être l’occasion de prendre deux minutes pour transmettre un message de prévention en matière de santé.
Peut-on imaginer proposer plus d’offres autour de l’activité physique et, en particulier, de l’activité physique adaptée (APA) dans les associations de retraités ?
Il est important de comprendre que les retraités n’ont pas toujours envie de parler de problèmes de santé et que, dans leur esprit, ce qu’on appelle une « activité physique adaptée » est souvent lié à la maladie (celle des autres) et aux personnes en maison de retraite.
En outre, l’APA, tel qu’il est inscrit dans la loi, est réservé aux patients atteints d’ALD (affection à long terme). Même si un certain nombre de retraités ont un ALD, nous croyons en la FNAR que pour que le plus grand nombre possible de retraités et de personnes âgées puissent le prendre, l’APA doit être présentée et prescrite comme un élément très important de prévention dans la santé des personnes âgées en insistant sur leur adaptation en fonction de l’âge des personnes âgées. En conséquence, les personnes âgées constituent évidemment un public qui devrait être davantage sensibilisé à cet élément important de la stratégie du système de santé : la prévention. Il s’agit d’une question qui mérite évidemment une attention particulière, pour être enregistrée à long terme auprès d’un public de haut niveau. Il semblerait donc intéressant de proposer l’APA aux retraités, non pas d’un point de vue curatif, mais d’un point de vue préventif, en l’enregistrant pour la durée et non en sessions de quelques semaines comme l’exige la loi en ce moment.
Comment sensibiliser le public plus âgé à l’activité physique qui ne participent pas à l’activité physique en groupe ?
En effet ! Alors que de nombreuses personnes âgées aiment se réunir pour des activités sportives physiques ou collectives, d’autres n’aiment pas ça et pourtant vous devriez les motiver à bouger. La marche quotidienne est un axe de prévention à valoriser, par exemple. Je me répète car je pense que l’ABS ne doit pas seulement être utilisé à des fins curatives, mais doit également être considéré d’un point de vue préventif.
Par conséquent, pour les publics de haut niveau qui ne souhaitent pas suivre les séances d’activité physique, adaptées ou non, nous pourrions toutefois créer des ateliers ad hoc, une ou deux fois par an, offrant aux participants des conseils pour leur apprendre à bouger davantage dans leur vie quotidienne. On pourrait également imaginer, par exemple, que l’assurance maladie, dans ses lettres de sensibilisation, sur le vaccin antigrippal en particulier, incorporerait des brochures destinées aux personnes âgées afin de leur donner des conseils sur la façon de se déplacer un peu tous les jours. Chaque moment de la vie peut être une excuse pour bouger davantage.
Il est vrai que les personnes âgées ont besoin de plus d’informations et de formation sur l’activité physique ou l’alimentation, car les deux sont des moyens de préserver notre santé au quotidien. En fait, l’idée est de gagner du temps de vie plus sain. Quoi qu’il en soit, peu importe ce que vous mettez en place, il est important de penser à le traiter sous un angle ludique et à la manière dont il attire l’intérêt des personnes âgées si vous voulez être capable de sensibiliser le plus grand nombre possible.
ENTRETIEN AVEC MARION OSTER, ENSEIGNANTE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE (APA) À L’ASSOCIATION PRIM’ADAL
Comment les séances d’activité physique adaptée (APA) sont-elles organisées au sein de l’association dans laquelle vous travaillez ?
Au sein de l’association Prim’adal, nous proposons des cours de conditionnement physique, ainsi que des cours d’équilibre et de prévention des chutes, des cours de Tai Chi Chuan, des séances de tir avec arc, aquagym… pour tous les âges, mais en particulier pour les personnes âgées, mais en réalité de nombreuses autres activités physiques, telles que l’aquagym, la marche (même la marche tous les jours), le tai-chi, etc. sont adaptables aux personnes âgées selon leurs souhaits et leurs besoins.
Par publics de haut niveau, nous entendons principalement les personnes retraitées parce qu’en réalité, les sessions APA ne tiennent pas compte de « l’âge réel de la personne ». L’important est de proposer des activités adaptées aux capacités physiques de chaque personne pendant la séance. De plus, nous n’organisons pas de groupes d’âge ni de niveaux, car les enseignants de l’association sont en mesure de proposer des exercices adaptés à chacun pendant le cours, et les différences de niveaux au sein d’un même groupe créent finalement une plus grande cohésion et motivation parmi les participants.
Quelles sont les attentes des membres ?
Dans un premier temps, ils espèrent pouvoir suivre le cours sans se sentir trop fatigués ou démotivés par l’impossibilité de suivre le groupe. Il arrive qu’ils viennent après avoir essayé de pratiquer une activité physique dans un club ou dans une salle classique où ils ont trouvé le cours inadéquat, avec trop de monde… Ainsi, en maintenant leur motivation dans le temps et en permettant à chacun de s’orienter dans sa pratique, les professeurs de l’APA s’adaptent en leur permettant de pratiquer chaque type d’exercice, que ce soit au sol, debout ou assis sur une chaise, selon les souhaits et les possibilités de chacun.
Dans un deuxième temps, les membres de notre association aiment rencontrer leur groupe et parfois nouer des amitiés.
Alors, pouvez-vous suivre des séances d’activité physique adaptée (APA) quels que soient votre âge et votre forme physique ?
Vous pouvez participer aux cours à tout âge et même si vous avez perdu une grande partie de vos capacités physiques.
Vous pouvez également venir en cours avec votre déambulateur ou votre canne si nécessaire. Ni l’âge ni les restrictions sur les capacités physiques ne devraient arrêter les personnes motivées à faire de l’activité physique. Vous pouvez toujours trouver une activité physique adaptée au cas et aux souhaits de chacun. Cependant, il est nécessaire d’avoir un certificat médical qui ne contre-indique pas la pratique de l’activité physique.
Quels sont les avantages de l’activité physique adaptée (APA) pour les personnes âgées ?
Les bienfaits de l’activité physique sont nombreux et bien connus. La particularité de l’APA est, tout d’abord, de pratiquer une activité physique sans risque de se blesser. Plus nous vieillissons, et encore moins, plus le corps et l’esprit ont de l’histoire : il est important d’en prendre conscience et d’y adapter nos pratiques. L’enseignant de l’APA sera en mesure d’adapter les propositions aux capacités de chaque personne pour lui permettre de terminer l’intégralité du cours modifier les exercices au cas par cas, si nécessaire.
Si vous faites de l’activité physique 2 ou 3 fois par semaine (même en marchant !) , vous pouvez observer une amélioration notable de votre condition physique. Et même si vous ne vous entraînez qu’une fois par semaine, cela vous permet déjà de rester en forme, de créer des liens sociaux.
Rendre les exercices accessibles à tous et voir que nous progressons contribue à maintenir la motivation et à inscrire la pratique de l’activité physique au fil du temps. Nos membres viennent souvent d’autres régions depuis plusieurs années. Ils se sont rencontrés et l’effet de groupe est un moteur supplémentaire de leur motivation.
Les avantages de l’ABS sont donc physiques, car il contribue à renforcer les muscles, les articulations, la flexibilité, etc. et agit également sur la santé mentale et sociale. Les membres sont heureux de venir chaque semaine et certains se sont même habitués à se réunir après les cours.
Comment allez-vous est-ce que vous vous adaptez à tout le monde dans le cadre d’un cours collectif ?
Pour commencer, il est important que le travailleur ait accès à des certificats médicaux et puisse échanger avec les participants, s’ils le souhaitent, pour apprendre à les connaître.
De plus, les orateurs ne s’assoient pas devant le groupe pour montrer les exercices en attendant que les participants les jouent, au contraire, ils circulent parmi les membres pour les conseiller et les corriger un par un.
Ensuite, afin de répondre le plus possible aux besoins des membres, nous avons limité les cours à 20 personnes pour la gymnastique et à 15 personnes pour les cours d’équilibre et de prévention des chutes. Certains cours sont limités à 10 participants.
L’adaptation à tout le monde est essentielle et souvent avant d’accueillir un nouveau membre, je m’assure d’avoir un entretien téléphonique avec lui pour mieux le connaître. Bien entendu, nous demandons également un certificat médical détaillé dûment rempli par votre médecin.
LUTTE CONTRE LA SÉDENTARITÉ : LES INFIRMIÈRES LANCERONT UNE COLLABORATION EFFICACE QUI RASSEMBLE LES UTILISATEURS
Les infirmières de l’Ariège, Christelle Repond et Françoise Chague travaillent dans un centre de santé multisite (cabinets professionnels répartis sur 3 municipalités) couvrant un territoire de 20 municipalités correspondant à une surface habitable d’environ 8 000 personnes.
Basée sur une dynamique multidisciplinaire forte (y compris les protocoles de coopération médecin/infirmière « ASALEE » et « Interventions des infirmières libérales à domicile pour diagnostiquer et initier la prise en charge de la fragilité des personnes âgées »), l’objectif est d’intervenir auprès des personnes âgées (en se référant aux facteurs de fragilité, à l’isolement social, à la sarcopénie, nourriture…), ainsi que des personnes atteintes de pathologie.
Pour lutter contre la sédentarité, Christelle et Françoise ont décidé utiliser, entre autres, le programme de motivation D-Marche (www.d-marche.fr) pour initier de nouvelles habitudes et des changements comportementaux durables. Ce recrutement multidimensionnel permet d’offrir une activité physique complète par domaine de vie et donc accessible au plus grand nombre de personnes possible, un soutien et une orientation à long terme grâce à une éventuelle évaluation physiothérapeutique vers des activités physiques adaptées.
Aujourd’hui, plus de 70 patients/utilisateurs ont augmenté leur niveau d’activité physique quotidienne et participent régulièrement à des marches hebdomadaires supervisées ou autonomes, source d’un lien social fédérateur et motivant.
TÉMOIGNAGE DE FRANÇOISE, 78 ANS, PRATICIENNE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE À ALFORTVILLE
Dans la vie, j’ai toujours été active mais pas vraiment athlétique. J’ai été physiothérapeute puis infirmière dans un établissement pour enfants handicapés mentaux. Je faisais beaucoup de jardinage et de marche, mais pas dans un environnement sportif. Aujourd’hui, j’ai 78 ans et je souffre d’arythmie cardiaque depuis 2007. En tant que physiothérapeute, j’ai toujours été intéressée par des activités physiques adaptées et j’ai demandé à mes patients atteints de diverses pathologies de les pratiquer individuellement.
Je l’ai pratiqué personnellement dès ma retraite en 2005 à 65 ans car, depuis plusieurs années, j’encourageais déjà mon mari à le faire dans le cadre des activités organisées par notre conseil de quartier. Ça lui a fait beaucoup de bien. C’est alors que j’ai rencontré l’association ADAL à Alfortville, qui est ensuite venue donner des cours pendant quelques années aux employés de l’établissement où je travaillais. Malheureusement, les cours ont fini par s’arrêter parce que les autres employés n’étaient pas très courageux et j’ai fini par être le seul à suivre le cours…
Ainsi, une fois que j’ai pris ma retraite, j’ai eu l’occasion de poursuivre les activités offertes par ADAL aux retraités de la municipalité d’Alfortville. Mon objectif en participant était garder mon corps et mon âge aussi bons que possible. J’y vais deux fois par semaine. L’association m’a également permis de rencontrer des gens du quartier et de créer des liens sociaux. Je me suis fait des amis là-bas et nous nous sommes motivés à y aller. Là, les exercices vous permettent de travailler tout le corps et sont variés. Après les activités, vous vous sentez plus léger. Même si vous partez avec des courbatures et des douleurs, vous vous sentez toujours mieux après la séance qu’avant la séance.
Au-delà de leurs capacités, ce qui caractérise l’association, c’est sa profonde gentillesse : tout le monde est le bienvenu et sur un pied d’égalité. Il y a même des personnes à mobilité réduite qui participent à ces activités et sont intégrées comme tout le monde. C’est un excellent partenariat. Peu importe le niveau, tout le monde fait ce que vous pouvez, peu importe si vous en faites moins. Il est extrêmement flexible et vous vous sentez totalement en sécurité, et mon arythmie cardiaque n’a jamais été un problème pour moi de suivre des cours.
TÉMOIGNAGE DE FRANÇOISE, 81 ANS, PRATICIENNE DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE À PARIS
Je n’ai jamais été particulièrement athlétique, en partie à cause de mon activité professionnelle dans le domaine médical qui m’a traité de 8 h à 19 h. Aujourd’hui, mis à part des problèmes d’arthrose aux genoux qui ne me dérangent pas trop pour marcher, je suis en forme. À la retraite en 1997, je voulais rester active et en forme et j’ai rapidement suivi des activités physiques adaptées aux personnes âgées. Les professeurs nous font travailler nos muscles, nos articulations et notre cœur en fonction de nos capacités. Ils s’adaptent à nous et sont très pédagogues. Vous vous sentez en sécurité avec eux. Ils nous apprennent également à marcher correctement pour éviter les chutes et nous donnent de nombreux conseils pour mieux vivre et rester en forme au quotidien. Par exemple, ils soulignent l’importance de la marche, qui doit être préférée autant que possible aux transports en commun.
Parfois, bien que le la motivation n’est pas complètement là, on sort toujours des cours en meilleure forme, on se sent mieux. La volonté et le moral sont donc également très importants pour rester en forme. Au cours des séances, nous rencontrons et sympathisons avec les gens et cela m’aide beaucoup car c’est agréable de se retrouver une ou deux fois par semaine dans ces cours avec un groupe que je connais depuis longtemps. Avec l’association qui propose les cours, je marche également environ 2 heures à Paris par semaine. L’association organise également des sorties, des voyages et des cours de plusieurs jours au cours desquels nous faisons des randonnées et toutes sortes d’activités. J’aime beaucoup le fait qu’il y ait des personnes de tous âges et de tous milieux sociaux car, au-delà des activités sportives, l’association me permet de créer des liens sociaux.