Mère Teresa et ses efforts incessants pour aider les handicapés

Image by Dimitris Vetsikas from Pixabay

Qui était Mère Teresa ?

St. Teresa de Calcutta, également connue sous le nom de Mère Teresa, était une religieuse et une missionnaire qui a consacré sa vie à aider les malades et les pauvres. Dans l’Église catholique, elle est vénérée sous le nom de St. Teresa de Calcutta, parce qu’elle y a fait l’essentiel de son travail philanthropique. Son ordre a financé une maison pour les malades en phase terminale et un camp d’été pour les aveugles, les personnes âgées et les handicapés.

A lire aussi : Comment transformer l'eau de mer en ressource durable ?

Pour tous ses efforts dans le domaine de l’humanitarisme, Mère Teresa a reçu le prix Nobel de la paix en 1979. Elle est décédée en septembre 1997; trois ans plus tard, en octobre 2003, elle est canonisée. Le deuxième miracle attribué à Mère Teresa a été officiellement approuvé par le pape François en décembre 2015, ouvrant la voie à sa canonisation le 4 septembre 2016.

Si vous êtes intéressé ou inspiré par cette femme incroyable, jetez un coup d’œil à cette incroyable statue de Mère Teresa de Holyart.

A lire aussi : Signe astrologique Taureau (caractère, personnalité, compatibilité)

Comment était la jeunesse de Mère Teresa ?

Mère Teresa s’appelait Agnes Gonxha Bojaxhiu lorsqu’elle est née le 26 août 1910 dans la ville de Skopje, en République de Macédoine. Elle a été élevée dans une maison religieuse par ses parents et ses frères et sœurs. Sa famille était très proche de leur foi. Elle était l’aînée de trois enfants.

La famille menait une vie agréable et distribuait beaucoup de choses à ceux qui en avaient besoin. Cependant, alors qu’elle avait probablement huit ou neuf ans, son père, qui était extrêmement actif en politique, est décédé subitement. On dit qu’il est mort des suites d’une maladie; néanmoins, il est possible qu’il s’agisse d’un empoisonnement.

Même s’ils étaient dans une situation financière plus difficile qu’auparavant, la famille a continué à être généreuse avec tout le reste.

La famille Bojaxhiu avait de nombreuses règles parce que la famille Bojaxhiu ne voulait pas que ses enfants perdent du temps sur des choses sans importance. Chaque soir, tous les enfants priaient ensemble et leur mère assistait régulièrement à la messe.

Agnès fréquentait l’école publique à l’époque et s’est d’abord intéressée aux missionnaires lorsqu’elle a rejoint un club scolaire qui se consacrait aux missions internationales.

Bojaxhiu a commencé à se sentir appelée à vivre comme une sœur alors qu’elle n’avait que douze ans. Il a été façonné par les enseignements d’un prêtre jésuite qui parlait souvent de son expérience missionnaire en Inde. Par conséquent, en 1928, elle est devenue membre des Sœurs de Loreto.

St. Teresa de Calcutta – Sommation en sommation

Bojaxhui a terminé sa formation à Darjeeling, en Inde. Elle a prononcé ses derniers vœux de virginité, d’humilité et de dévotion en 1931. Puis elle prit le nom de Sœur Teresa. Puis elle a été transférée à Calcutta, où elle a travaillé dans un établissement pour filles en tant que directrice puis enseignante. Bien que ses étudiants aient été privilégiés, elle a rencontré Calcutta appauvrie.

Sa vie allait basculer le 10 septembre 1946. Elle a dit qu’elle « a entendu l’appel de Dieu pendant le trajet en train. La recommandation était très claire : je devais quitter le monastère et vivre parmi les défavorisés, tout en leur apportant un soutien. Elle l’a décrit comme son appel.Le Pape a refusé de quitter les Sœurs de Loreto jusqu’en 1948. Elle est partie pour Calcutta après avoir terminé une pratique médicale de 6 mois, après quoi Mère Teresa est rapidement devenue largement connue.

L’approbation formelle des Missionnaires de la Miséricorde a été obtenue en 1950.

L’oeuvre de Mère Teresa

La mission des Missionnaires de la Miséricorde était d’aider les plus faibles des pauvres. Certains de leurs projets comprenaient:

• Créer une école pour les enfants vivant dans les bidonvilles.
• Travailler avec les malades
• Création d’un orphelinat
• Création d’un établissement de soins
• Démarrage d’une pratique familiale
• Cliniques mobiles reconnues
• Des maisons ont été construites pour les personnes atteintes du SIDA
• Mettre en place une clinique pour fournir aux malades en phase terminale afin qu’ils puissent s’en aller respectueusement.